Nous comptons plus les bas
que les hauts
chaque moment s'assume au mieux de sa forme.
vendredi 29 mai 2009
jeudi 28 mai 2009
mercredi 27 mai 2009
Vie à Vie
Vis à vis
Vie à vie
sur les nuages de la vie
vice-versa
vers-là
ici ou ailleurs
à l'heure d'un nouveau réveil
à l'aube d'un nouvel éveil
Vie à vie
sur les nuages de la vie
vice-versa
vers-là
ici ou ailleurs
à l'heure d'un nouveau réveil
à l'aube d'un nouvel éveil
mardi 26 mai 2009
lundi 25 mai 2009
dimanche 24 mai 2009
Au bout de la pensée
Au bout de la pensée
l'esprit soulève le temps
Offrant un regard neuf sur l'existence
L'œuvre de la patience comme une forme de sagesse sensuelle
l'esprit soulève le temps
Offrant un regard neuf sur l'existence
L'œuvre de la patience comme une forme de sagesse sensuelle
samedi 23 mai 2009
Abandon-nez à ses réflexions
Abandon-nez à ses réflexions
L'ombre de son Printemps se déploie sur la campagne de nos esprits.
Le verbe du silence
comme un cri
s'écrit ainsi
le langage de la désolation
le langage de la consolation
oui, le temps est son indifférence
Interférences de nos différences
Cet équilibre qui rejoint notre mémoire.
L'ombre de son Printemps se déploie sur la campagne de nos esprits.
Le verbe du silence
comme un cri
s'écrit ainsi
le langage de la désolation
le langage de la consolation
oui, le temps est son indifférence
Interférences de nos différences
Cet équilibre qui rejoint notre mémoire.
vendredi 22 mai 2009
Printemps
Une longue marche, pieds nus, dans l'herbe du Printemps
En osmose avec l'environnement
Simple écoute de la Terre
où l'oreille filtre nos sensations
pour n'entendre que ton murmure
l'équilibre fragile de nos perceptions
sinus-oïdale de nos humeurs
en un reniflement d'humour
En osmose avec l'environnement
Simple écoute de la Terre
où l'oreille filtre nos sensations
pour n'entendre que ton murmure
l'équilibre fragile de nos perceptions
sinus-oïdale de nos humeurs
en un reniflement d'humour
jeudi 21 mai 2009
La bouche
Entendre et parler
Percevoir les silences
et se taire
sans un dernier cri
une harmonie avec soi
Féminité et masculinité
en un seul visage
font l'amour sous la lune de nos âmes
La lune au cœur de nos tentatives de communication
cycle éternel de l'expiration et de l'inspiration
Percevoir les silences
et se taire
sans un dernier cri
une harmonie avec soi
Féminité et masculinité
en un seul visage
font l'amour sous la lune de nos âmes
La lune au cœur de nos tentatives de communication
cycle éternel de l'expiration et de l'inspiration
mercredi 20 mai 2009
Aveugle
Aveugle à contre-jour
entre deux allées
entre deux plantes
La photosynthèse d'une pensée se découvre à la lumière claire d'un matin.
entre deux allées
entre deux plantes
La photosynthèse d'une pensée se découvre à la lumière claire d'un matin.
mardi 19 mai 2009
lundi 18 mai 2009
Exister
L'inspiration n'a pas de lieu.
Parfois l'auteur obtient un non-lieu
et peut continuer d'exister.
Parfois l'auteur obtient un non-lieu
et peut continuer d'exister.
samedi 16 mai 2009
Salle d'os
Le carrelage de l'émotion
se faïence
se fêle
se fêle dans l'action
d'un rêve érotique trop cru
Chaque croyance enveloppe
les formes
et les tissus se déforment
laissent apparaître les formes
L'œil se pose
L'œil dépose
couche obscure sur la peau
de l'imaginaire
une poussière de rêve comme d'étoile
se faïence
se fêle
se fêle dans l'action
d'un rêve érotique trop cru
Chaque croyance enveloppe
les formes
et les tissus se déforment
laissent apparaître les formes
L'œil se pose
L'œil dépose
couche obscure sur la peau
de l'imaginaire
une poussière de rêve comme d'étoile
vendredi 15 mai 2009
De place en place
Savoir sans pouvoir
Vouloir sans ambition
D'où naissent nos frustrations
Il y a tant de raisons
Et je n'ai pas voulu croire
Ne serait-ce qu'une foi(s)
Ma mélancolie s'aiguise
Dans ces amères conclusions
Je connais mieux ma mort
Que mon présent
J'avale mes remords
Aux goût de déceptions
Vouloir sans ambition
D'où naissent nos frustrations
Il y a tant de raisons
Et je n'ai pas voulu croire
Ne serait-ce qu'une foi(s)
Ma mélancolie s'aiguise
Dans ces amères conclusions
Je connais mieux ma mort
Que mon présent
J'avale mes remords
Aux goût de déceptions
jeudi 14 mai 2009
La fuite rend flou
Le temps passe si vite
Tout file,
Et moi je n'avance pas !
Je stagne dans mes déceptions
Incapable de franchir le pas
De me relancer, de me projeter
Je veux fuir ce marasme
Mais je suis englué
Tout s'évapore devant moi
Incapable de retenir quoique ce soit de tangible...
Je n'ai plus la mesure de rien
Ni du silence,
Ni de la douleur,
Ni des dispersions
Je me noie dans tout
Incapable de prioriser
De ne pas répondre
De focaliser.
Tout devient flou
Qu'est-ce qu'il me reste pour reprendre pied
Pour trouver un peu d'assurance
De certitudes
Est-ce qu'il y a un moyen,
Au moins ?
Tout file,
Et moi je n'avance pas !
Je stagne dans mes déceptions
Incapable de franchir le pas
De me relancer, de me projeter
Je veux fuir ce marasme
Mais je suis englué
Tout s'évapore devant moi
Incapable de retenir quoique ce soit de tangible...
Je n'ai plus la mesure de rien
Ni du silence,
Ni de la douleur,
Ni des dispersions
Je me noie dans tout
Incapable de prioriser
De ne pas répondre
De focaliser.
Tout devient flou
Qu'est-ce qu'il me reste pour reprendre pied
Pour trouver un peu d'assurance
De certitudes
Est-ce qu'il y a un moyen,
Au moins ?
X
Il existe toujours un X
dans la vie
A la plage de nos désoeuvrements
Femme fantôme
Femme pulpeuse
à la pulpe du fruit défendu
défense d'entrer
mais pas d'afficher
Le rêve autorisé
haussement des hanches
Sensuelle autorisation de rêver
de pénétrer des lieux inconnus
dans la vie
A la plage de nos désoeuvrements
Femme fantôme
Femme pulpeuse
à la pulpe du fruit défendu
défense d'entrer
mais pas d'afficher
Le rêve autorisé
haussement des hanches
Sensuelle autorisation de rêver
de pénétrer des lieux inconnus
La mosaïque
La mosaïque des visages
les uns de passage
d'autres un peu moins sages
où le temps passe
ravine, ravage, ravale
Modèle les visages
dans la multitude
de l'existence
le tumulte de nos exigences
le tumulte de nos silences
les uns de passage
d'autres un peu moins sages
où le temps passe
ravine, ravage, ravale
Modèle les visages
dans la multitude
de l'existence
le tumulte de nos exigences
le tumulte de nos silences
mercredi 13 mai 2009
Rythme en -aire
La lune et le soleil se cyclent,
se cernent aux yeux des fatigués :
des rêveurs et des poètes.
Homme(s) et femme(s)
comme le jour et la nuit
à l'artère des envies
blanches
un être à deux visages
Homme ou femme
croyant échapper
à l'un ou à l'autre
Restant l'unique réplique
à son personnage
se cernent aux yeux des fatigués :
des rêveurs et des poètes.
Homme(s) et femme(s)
comme le jour et la nuit
à l'artère des envies
blanches
un être à deux visages
Homme ou femme
croyant échapper
à l'un ou à l'autre
Restant l'unique réplique
à son personnage
mardi 12 mai 2009
Regarder le dictionnaire
Regarder le dictionnaire de la vie,
trouver les mots.
trouver les bonnes définitions.
Chaque jour composer un petit moment
qui mis bout à bout font l'existence
trouver les mots.
trouver les bonnes définitions.
Chaque jour composer un petit moment
qui mis bout à bout font l'existence
La Chandelle
A la flamme
d'une bougie
lueur fantôme
chancelante, basculante
lentement aux brumes
de nos saisons
au brouillard de notre raison
liaison dangereuse
mais heureuse
Alors ?
d'une bougie
lueur fantôme
chancelante, basculante
lentement aux brumes
de nos saisons
au brouillard de notre raison
liaison dangereuse
mais heureuse
Alors ?
lundi 11 mai 2009
Prière païenne
L'aube pluvieuse
où le soleil reste intérieur
Cri inquiétant
Déchire la nuit
Au temps de la tentation
La tentative aigue
de la temps-tation
Entre les cuisses de Dieu,
l'homme dépose son offrande
comme une prière païenne
où le soleil reste intérieur
Cri inquiétant
Déchire la nuit
Au temps de la tentation
La tentative aigue
de la temps-tation
Entre les cuisses de Dieu,
l'homme dépose son offrande
comme une prière païenne
dimanche 10 mai 2009
Leucémie
De ces yeux bleus
qui se sont fermées pour de bon
sur les étoiles de nos souvenirs
Quelques globules de moins
un gène de trop : Philadelphia
Fidèle à la mort de l'être
Je me souviens
de ces derniers moments
où la douleur ne transparaît
mais tiraille le corps
qui mitraille la pensée
Je me souviens mon ami
et parfois, je pleure cette absence
qui se sont fermées pour de bon
sur les étoiles de nos souvenirs
Quelques globules de moins
un gène de trop : Philadelphia
Fidèle à la mort de l'être
Je me souviens
de ces derniers moments
où la douleur ne transparaît
mais tiraille le corps
qui mitraille la pensée
Je me souviens mon ami
et parfois, je pleure cette absence
jeudi 7 mai 2009
mercredi 6 mai 2009
mardi 5 mai 2009
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