Pour un baiser
s'approcher de la mort
avec délice
Sur sa peau la main glisse
les yeux se plissent
les corps frémissent
jeudi 23 avril 2009
Montagne
A l'arcade d'un demi-soleil
perdu dans le ciel de son regard ;
loin, très loin, au plus haut de la montagne de l'imagination
Souplesse du regard
d'un rêveur, prêcheur de l'univers des rêves
(un autre monde bien solitaire en vérité)
perdu dans le ciel de son regard ;
loin, très loin, au plus haut de la montagne de l'imagination
Souplesse du regard
d'un rêveur, prêcheur de l'univers des rêves
(un autre monde bien solitaire en vérité)
mardi 21 avril 2009
lundi 20 avril 2009
L'érostisme de l'art
L'érotisme dans l'art
Cette féminité sensuelle
aussi éphémère qu'une étoile filante
qu'une pleine lune contemplant deux âmes sur une colline
Des courbes lisses où la peau-ésie peut caresser l'éros.
L'âme peut toucher l'impalpable ;
l'imaginaire fait le reste
Cette féminité sensuelle
aussi éphémère qu'une étoile filante
qu'une pleine lune contemplant deux âmes sur une colline
Des courbes lisses où la peau-ésie peut caresser l'éros.
L'âme peut toucher l'impalpable ;
l'imaginaire fait le reste
dimanche 19 avril 2009
jeudi 16 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
Rame en perdition
Est-ce que tous ces gens autour de moi,
Dans cette rame de métro,
Sont tous perdus ?
Définitivement ?
Comme moi ?
Est-ce qu'il me reste un moyen
De revenir au monde ?
Dans cette rame de métro,
Sont tous perdus ?
Définitivement ?
Comme moi ?
Est-ce qu'il me reste un moyen
De revenir au monde ?
Doute métropolitain
Est-ce encore possible de compter sur quelqu'un ?
Dans ce puits sans fond de l'individualisme...
Dans cette société d'ismes
Où ne sommes plus tous que des îles désertes en dérive...
Dans ce puits sans fond de l'individualisme...
Dans cette société d'ismes
Où ne sommes plus tous que des îles désertes en dérive...
A contretemps
Ma vie n'y suffit plus !
Je suis passé à côté de tant de choses.
J'ai manqué de tant de courage,
De tant de désir...
Déjà blasé,
Avant d'être...
Combien sommes nous à nous morfondre
Dans le gris de nos vies ?
Comme des ciels trop bas sur l'amer
Une dépression de circonstance
Qui ne laisse aucune chance à l'anticyclone
Qui nous essorerait de tous ces remords...
En hommage à A Contretemps de Jean-Philippe Blondel que je viens de finir et qui est très bien comme toujours...
Je suis passé à côté de tant de choses.
J'ai manqué de tant de courage,
De tant de désir...
Déjà blasé,
Avant d'être...
Combien sommes nous à nous morfondre
Dans le gris de nos vies ?
Comme des ciels trop bas sur l'amer
Une dépression de circonstance
Qui ne laisse aucune chance à l'anticyclone
Qui nous essorerait de tous ces remords...
En hommage à A Contretemps de Jean-Philippe Blondel que je viens de finir et qui est très bien comme toujours...
mardi 14 avril 2009
A définir
Nous cherchons à définir ce qui ne possède pas définition.
Nous cherchons à donner un nom à ce qui n'en porte pas mais nous devinons comme un murmure intime, le verbe qui s'y cache.
Nous cherchons à donner un nom à ce qui n'en porte pas mais nous devinons comme un murmure intime, le verbe qui s'y cache.
lundi 13 avril 2009
Nos existences
Nos existences sont pleines de contradictions.
De vœux et de veux
de veux et de peu
la dualité du vouloir
et du pouvoir
nous ...
De vœux et de veux
de veux et de peu
la dualité du vouloir
et du pouvoir
nous ...
mercredi 8 avril 2009
Ce regard
Il y a ce regard
perdu dans le vide
d'un monde en perpétuel mouvement ;
En constante mutation
La pensée s'inonde de toxines
Il change de ligne
Il rate sa correspondance
Il est tard
Il est en retard
Sa vie est une accumulation de "trop tôt" ou de "trop tard"
Son âme est partie ailleurs
perdu dans le vide
d'un monde en perpétuel mouvement ;
En constante mutation
La pensée s'inonde de toxines
Il change de ligne
Il rate sa correspondance
Il est tard
Il est en retard
Sa vie est une accumulation de "trop tôt" ou de "trop tard"
Son âme est partie ailleurs
mardi 7 avril 2009
Sur les rails
Sur les rails
l'esprit reste immobile
le changement n'a aucun mobile
et pourtant, il sonne.
l'esprit reste immobile
le changement n'a aucun mobile
et pourtant, il sonne.
dimanche 5 avril 2009
Idées
Les idées pénètrent le papier ; les souvenirs ressurgissent
comme des fantômes réveillés
La gueule de bois en plus
Sont-ils pour nous ?
Ils disparaissent avec nos chairs.
Tant de gens croisés, perdu de vues, oubliés ou disparus
Ils ont fait parti d'une vie ;
ils disparaitront avec moi
comme des fantômes réveillés
La gueule de bois en plus
Sont-ils pour nous ?
Ils disparaissent avec nos chairs.
Tant de gens croisés, perdu de vues, oubliés ou disparus
Ils ont fait parti d'une vie ;
ils disparaitront avec moi
samedi 4 avril 2009
vendredi 3 avril 2009
jeudi 2 avril 2009
Pas toujours à la fête...
Au nom de celle qui apporte le regret
Pourtant du remord,
Il n'y en a plus guère
Le temps a lavé l'amertume
La mémoire l'espère
Le doute n'en est pas convaincu
Les souvenirs s'en gargarisent
Et moi je suis toujours perdu
Qu'est-ce qui m'impasse encore ?
Les années n'y suffisent pas ??
J'ai voulu y croire
Mais mon athéisme me fait défaut !
Encore combien à attendre
Pour que tout cela ne me fasse plus mal ?
Sans doute n'y arriverais-je jamais !
Il faudrait savoir détourner le regard,
Pouvoir sauter l'obstacle
Mais je suis un cheval face à la haie
Je ne m'en sens pas capable !!!
La mélancolie n'y ajoutera qu'à ma peur
Ce n'est qu'un long escalier
Le velours rouge ne m'adoucira pas
Même quand je marcherai avec une canne
Je n'ai jamais été sur la liste des invités
Intru parmi les élus
Fugitif dans son désir
Ombre dans sa lumière
Passager dans son cœur
Que reste-il de moi en elle ?
Un hors champ de poussières
Des sels d'argent solitaires
Une journée hors du temps
Et tant de lignes qu'elle n'a jamais lu
Que j'aurais voulu ne pas écrire
Mais voilà, j'en suis encore là(s)
Et celles-ci s'y ajoutent
Sans espoir de rémission...
Pourtant du remord,
Il n'y en a plus guère
Le temps a lavé l'amertume
La mémoire l'espère
Le doute n'en est pas convaincu
Les souvenirs s'en gargarisent
Et moi je suis toujours perdu
Qu'est-ce qui m'impasse encore ?
Les années n'y suffisent pas ??
J'ai voulu y croire
Mais mon athéisme me fait défaut !
Encore combien à attendre
Pour que tout cela ne me fasse plus mal ?
Sans doute n'y arriverais-je jamais !
Il faudrait savoir détourner le regard,
Pouvoir sauter l'obstacle
Mais je suis un cheval face à la haie
Je ne m'en sens pas capable !!!
La mélancolie n'y ajoutera qu'à ma peur
Ce n'est qu'un long escalier
Le velours rouge ne m'adoucira pas
Même quand je marcherai avec une canne
Je n'ai jamais été sur la liste des invités
Intru parmi les élus
Fugitif dans son désir
Ombre dans sa lumière
Passager dans son cœur
Que reste-il de moi en elle ?
Un hors champ de poussières
Des sels d'argent solitaires
Une journée hors du temps
Et tant de lignes qu'elle n'a jamais lu
Que j'aurais voulu ne pas écrire
Mais voilà, j'en suis encore là(s)
Et celles-ci s'y ajoutent
Sans espoir de rémission...
mercredi 1 avril 2009
Amertume ?
Je suis aigri contre le monde,
La société...
Mais pas contre la vie !
Elle a tellement de surprises
De beautés à nous apporter
Elle sait nous aider à résister
A tant d'affronts,
De déceptions,
De résignations,
D'envie de tout abandonner...
La société...
Mais pas contre la vie !
Elle a tellement de surprises
De beautés à nous apporter
Elle sait nous aider à résister
A tant d'affronts,
De déceptions,
De résignations,
D'envie de tout abandonner...
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