mercredi 30 septembre 2009
mardi 29 septembre 2009
lundi 28 septembre 2009
dimanche 27 septembre 2009
samedi 26 septembre 2009
vendredi 25 septembre 2009
jeudi 24 septembre 2009
mercredi 23 septembre 2009
mardi 22 septembre 2009
vendredi 18 septembre 2009
jeudi 17 septembre 2009
L'ombre de soi
Quand les mots vous quittent
qu'ils claquent la porte
qu'ils ne veulent pas se coucher
même s'il ne s'agit pas d'infidélité
A perte de vue,
l'ombre de soi,
cela va de soi
qu'ils claquent la porte
qu'ils ne veulent pas se coucher
même s'il ne s'agit pas d'infidélité
A perte de vue,
l'ombre de soi,
cela va de soi
Le compte à rebours
Le temps, toujours trop vite, avance
Il me grignote
Comme une carotte
Comme un Prométhée victime de Chronos
Mon sursis se réduit
Je n'ai plus de marge
J'erre en pleine page
Sans trouver les lignes
Qui traceraient mon projet
L'inspiration en ligne de fuite
L'horizon se contracte en déraison
Pour la folie de ma passion
La camisole des mots en non-dit
Emprisonné dans le capitonnage d'une mélodie
Mes sons, dans le vide, se meurent...
Il ne me reste que la petite musique intérieure...
mercredi 16 septembre 2009
Nos vies
Nos vies se mesurent en centimètres de joie, en millimètres de calcul, sans obligation de faire la bascule.
lundi 14 septembre 2009
dimanche 13 septembre 2009
Rares Souvenirs
Je me souviens des tiens tombés pour rien.
Je me souviens d’un peuple ancien qui a existé.
Je me souviens du sourire d’une déesse.
Je me souviens d’un mot de trop.
Je me souviens d’un tout.
Le néant offre sa spirale infernale à travers des pages.
Je me souviens d’avoir encaissé des échecs.
Je me souviens de ma mort :
Fut-elle belle ?
Qui se soucie encore de la tristesse ?
Qui peut encore me dire ?
Qui peut encore comprendre mes soupirs ?
Je ne concrétise plus les liens qui unissent les hommes et les femmes.
J’ai voulu inculquer les méfaits de mes pensées.
J’ai cultivé le non sens et les aberrations des pulsions.
Le fleuve s’évapore laissant un désert torride.
L’humidité de mes larmes ne sauvegarde plus les rares plantes qui persistent dans
leur féminin besoin de vivre l’incomparable.
L’intimité bafouée,
Le fouet claque sur le dos d’une intime conviction.
Je me souviens d’un peuple ancien qui a existé.
Je me souviens du sourire d’une déesse.
Je me souviens d’un mot de trop.
Je me souviens d’un tout.
Le néant offre sa spirale infernale à travers des pages.
Je me souviens d’avoir encaissé des échecs.
Je me souviens de ma mort :
Fut-elle belle ?
Qui se soucie encore de la tristesse ?
Qui peut encore me dire ?
Qui peut encore comprendre mes soupirs ?
Je ne concrétise plus les liens qui unissent les hommes et les femmes.
J’ai voulu inculquer les méfaits de mes pensées.
J’ai cultivé le non sens et les aberrations des pulsions.
Le fleuve s’évapore laissant un désert torride.
L’humidité de mes larmes ne sauvegarde plus les rares plantes qui persistent dans
leur féminin besoin de vivre l’incomparable.
L’intimité bafouée,
Le fouet claque sur le dos d’une intime conviction.
samedi 12 septembre 2009
Un rêve sans trêve
J’ai fait un rêve pénétrant :
La mélancolie de la caresse lascive d’un printemps.
Le buvard éponge les larmes de mon coeur.
J’ai fait un rêve imprégnant.
Je me suis brisé les dents sur des soupirs incompris.
J’ai pris mon temps : ce fut ma seule erreur.
J’ai fait un rêve impressionnant :
La délicatesse d’une image de femme.
Son souvenir persévère dans ma mémoire.
Mes pensées errent sur le trottoir humide et glissant des sentiments.
J’ai fait un rêve attirant :
La chaste chute.
Un tourbillon de sensation sans le sensationnel.
Le perpétuel mouvement d’une âme trouble et troublée.
J’ai fait un rêve troublant :
Un rire hautement agaçant captive l’intention des hommes.
Je ne suis pas envieux.
Je me contente de peu.
La mélancolie de la caresse lascive d’un printemps.
Le buvard éponge les larmes de mon coeur.
J’ai fait un rêve imprégnant.
Je me suis brisé les dents sur des soupirs incompris.
J’ai pris mon temps : ce fut ma seule erreur.
J’ai fait un rêve impressionnant :
La délicatesse d’une image de femme.
Son souvenir persévère dans ma mémoire.
Mes pensées errent sur le trottoir humide et glissant des sentiments.
J’ai fait un rêve attirant :
La chaste chute.
Un tourbillon de sensation sans le sensationnel.
Le perpétuel mouvement d’une âme trouble et troublée.
J’ai fait un rêve troublant :
Un rire hautement agaçant captive l’intention des hommes.
Je ne suis pas envieux.
Je me contente de peu.
vendredi 11 septembre 2009
jeudi 10 septembre 2009
La Sagesse
Un regard néfaste,
Le faste d’un besoin de création
La narration d’une plume,
L’histoire d’un homme.
Homme sans peur,
Homme si fort,
Homme si impuissant.
La puissance miroitante et sa naissance,
Le savoir à la portée de l’encre.
L’encre imbibe le trottoir.
Le trot et la marche aux pas.
Le plaisir de faire le bien.
Le bien et le mal côtoient les images.
La sagesse impressionne les rêves
En vagues de peur si timides.
Hommes sans Rivages, 1995 : http://www.poesage.net/down/1995_HSR_Final.pdf
Le faste d’un besoin de création
La narration d’une plume,
L’histoire d’un homme.
Homme sans peur,
Homme si fort,
Homme si impuissant.
La puissance miroitante et sa naissance,
Le savoir à la portée de l’encre.
L’encre imbibe le trottoir.
Le trot et la marche aux pas.
Le plaisir de faire le bien.
Le bien et le mal côtoient les images.
La sagesse impressionne les rêves
En vagues de peur si timides.
Hommes sans Rivages, 1995 : http://www.poesage.net/down/1995_HSR_Final.pdf
lundi 7 septembre 2009
A l'illusion de l'existence
L'illusion de qui nous sommes :
des puzzles incomplets
où certaines pièces ne trouvent pas leur place.
des puzzles incomplets
où certaines pièces ne trouvent pas leur place.
dimanche 6 septembre 2009
âmour
L'âmour, cet étrange mélange entre l'âme et l'amour, est comme l'ange flou de notre intérieur.
samedi 5 septembre 2009
Le temps d'une obsession
L'obsession du temps,
de temps en temps,
elle vient ;
elle passe
Le compteur jamais ne repasse par zéro
comme la case départ des jeux de notre enfance.
de temps en temps,
elle vient ;
elle passe
Le compteur jamais ne repasse par zéro
comme la case départ des jeux de notre enfance.
vendredi 4 septembre 2009
jeudi 3 septembre 2009
Regard sur l'autre
L'âme est une balade
L'amour n'a pas d'âge
L'âme n'a pas appris ce qui est sage
L'esprit est voyageur
La pensée est voyeuse voire voleuse
A partir de rien
Nous inventons de nouveaux mondes
Où le corps et l'âme deviennent de nouvelles expressions
Comme un engagement universel
Où l'esprit reste réflexif
Quand l'inventif devient
Abusif à tort ou à raison
http://www.poesage.net/pv/front.htm
L'amour n'a pas d'âge
L'âme n'a pas appris ce qui est sage
L'esprit est voyageur
La pensée est voyeuse voire voleuse
A partir de rien
Nous inventons de nouveaux mondes
Où le corps et l'âme deviennent de nouvelles expressions
Comme un engagement universel
Où l'esprit reste réflexif
Quand l'inventif devient
Abusif à tort ou à raison
http://www.poesage.net/pv/front.htm
mercredi 2 septembre 2009
mardi 1 septembre 2009
Oeil
Belle inconnue
Nous ne nous revenons plus
Nous croisons les regards
Dans les champs silencieux
Bien urbaines
Attendant l'un, l'autre la maison du cœur
L'herbe fine de tes cheveux
N'est pas si mauvaise
Elle cohabite avec la splendeur de tes yeux
Couleur Blé mûr
Je m'allongerais bien sur ta paille
http://www.poesage.net/pv/oeil.htm
Nous ne nous revenons plus
Nous croisons les regards
Dans les champs silencieux
Bien urbaines
Attendant l'un, l'autre la maison du cœur
L'herbe fine de tes cheveux
N'est pas si mauvaise
Elle cohabite avec la splendeur de tes yeux
Couleur Blé mûr
Je m'allongerais bien sur ta paille
http://www.poesage.net/pv/oeil.htm
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