Belle inconnue
Nous ne nous revenons plus
Nous croisons les regards
Dans les champs silencieux
Bien urbaines
Attendant l'un, l'autre la maison du cœur
L'herbe fine de tes cheveux
N'est pas si mauvaise
Elle cohabite avec la splendeur de tes yeux
Couleur Blé mûr
Je m'allongerais bien sur ta paille
http://www.poesage.net/pv/oeil.htm
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